Livre

Roman

Vincent qu’on assassine

Par Isabelle Manca · L'ŒIL

Le 28 juin 2018 - 94 mots

En 2011, la biographie de Naifeh et White Smith avait suscité la controverse, car les historiens y développaient la thèse du meurtre de Van Gogh.

Une version sensationnaliste, impossible à démontrer, que battent en brèche quantité d’experts. Marianne Jaeglé reprend sans réserve les conclusions des Américains et exerce la licence poétique intrinsèque au roman. Elle retrace très librement les deux dernières années de l’artiste en surfant allègrement sur tous les poncifs du « peintre maudit » dont les chercheurs tentent désespérément de le débarrasser.
 

Marianne Jaeglé,

Vincent qu’on assassine,

Folio Gallimard, 352 p., 7,80 €.

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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°714 du 1 juillet 2018, avec le titre suivant : Vincent qu’on assassine

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