Né à Dresde en 1932, formé à l’École des beaux-arts, puis réfugié à Düsseldorf en 1961, Gerhard Richter a exploré pendant plus de soixante ans les multiples possibilités du médium pictural.
![Gerhard Richter, Carotte [Möhre], huile sur toile, 200 x 160 cm, Fondation Louis Vuitton, Paris. © Gerhard Richter 2025](/sites/lejournaldesarts/files/styles/libre_w468/public/2025-09/carotte-mohre-fondation-louis-vuitton-copyright-photo-gerhard-richter.jpg?h=c849f2bb&itok=A6D8rJ7l)
L’exposition réunit 270 œuvres réalisées entre 1962 et 2024 – peintures, sculptures, dessins, aquarelles, photographies peintes – dans un parcours chronologique qui met en lumière ses recherches formelles et conceptuelles. Du réalisme photographique aux grandes abstractions, Richter échappe à toute étiquette, repoussant sans cesse les frontières entre figuration et abstraction, image et réalité. À travers des portraits, paysages, natures mortes et des compositions géométriques, l’artiste réfléchit sur la mémoire, la perception et le statut de l’image. Une rétrospective d’envergure qui retrace l’évolution d’un regard unique et radical sur l’histoire de l’art et de la peinture.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
L’odyssée de Gerhard Richter
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°788 du 1 septembre 2025, avec le titre suivant : L’odyssée de Gerhard Richter





