Droit de réponse : Andrea Bellini, codirecteur du Castello di Rivoli

Le Journal des Arts

Le 14 novembre 2011 - 151 mots

Alessandro Martini, dans son article sur les difficultés rencontrées par le Castello di Rivoli à Turin (JdA no 355, 21 octobre 2011, p. 5) omet étonnement la principale information : le musée dispose aujourd’hui d’un budget largement inférieur à celui qui fut géré par la précédente direction. De nombreux musées et théâtres italiens connaissent une même situation financière dramatique. Heureusement, malgré ces difficultés, le Castello di Rivoli continue de maintenir sa fréquentation et d’organiser des expositions de niveau international telles que la première rétrospective européenne de John McCracken et la grande exposition du curateur Germano Celant « Arte Povera International » en 2011.

À trois semaines de l’ouverture des expositions « Arte Povera International » et « Luigi Ontani. RivoltArteAltrove », le musée a totalisé 9 517 visiteurs, et cette donnée est en ligne avec celle des grandes expositions qui font désormais partie de l’histoire du Castello di Rivoli.

Andrea Bellini
 

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°357 du 18 novembre 2011, avec le titre suivant : Droit de réponse : Andrea Bellini, codirecteur du Castello di Rivoli

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