C’est sous un jour nouveau que l’on découvre Gustave Courbet (1819-1877) par sa correspondance quasi pornographique (en 1872 et 1873) avec Mathilde Carly de Svazzema, une aventurière parisienne que le peintre, en exil à Ornans, n’a pourtant jamais rencontrée.
Le peintre s’y révèle dans toute sa dimension charnelle : mangeur, buveur, chasseur et jouisseur, excessif en tout. Découvertes fin 2023 dans le grenier de la bibliothèque de Besançon, ces quelque 110 lettres font l’objet d’une exposition, dans ce même lieu, jusqu’au 21 septembre.
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Courbet déboutonné
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°786 du 1 juin 2025, avec le titre suivant : Courbet déboutonné