Hyères. Un audit, révélé par Ici (ex-France Bleu), met en lumière la gestion chaotique de Jean-Pierre Blanc à la tête de la Villa Noailles : 1,2 million d’euros de frais de déplacement et de réception, 2,7 millions de dettes fournisseurs, pour un déficit cumulé atteignant près de 4 millions d’euros.
Malgré un budget couvert à 60 % par des fonds publics, l’institution est au bord de la faillite. Un plan de redressement et une refonte de la gouvernance sont désormais en cours. Ce centre d’art connu pour ses festivals internationaux de mode, de photographie et de design est logé dans un bâtiment signé Robert Mallet-steven.
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Les dérives du directeur de la Villa Noailles
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°656 du 23 mai 2025, avec le titre suivant : Les dérives du directeur de la Villa Noailles









