Monographie. Consacrée à Thomas Lévy-Lasne, La fin du banal retrace vingt ans de création à travers 188 reproductions de peintures, fusains, aquarelles.
L’ouvrage est enrichi de textes de proches de l’artiste, parmi lesquels la cinéaste Justine Triet, l’écrivain Aurélien Bellanger ou l’artiste Judith Prigent. Ces contributions éclairent l’homme – qui fut aussi l’initiateur du « Jour des peintres » au Musée d’Orsay en 2024 –, mais un entretien avec Cécile Debray, directrice du Musée Picasso-Paris, apporte un regard sur son art. Si tout semble trouver sa place dans la peinture de Lévy-Lasne : fêtes, paysages, technologie…, La fin du banal ne cherche pas à « monumentaliser » ce quotidien (même si les formats sont imposants), mais à en révéler la précarité dans un monde saturé d’images, où l’on attend de l’artiste qu’il ralentisse le regard.
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Thomas Lévy-Lasne signe « la fin du banal »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°657 du 6 juin 2025, avec le titre suivant : Thomas Lévy-Lasne signe « la fin du banal »