En 1911, le vol de La Joconde au Louvre a suscité maints récits. Stéphane Audeguy envisage la disparition du tableau de Léonard de Vinci sous un angle inexploré : le célèbre portrait tombe d’un coup en poussière devant ceux qui se pressent dans la salle des États pour le voir.
Ce n’est que le début de la fin du monde, du moins d’un monde, et de réactions en chaîne. Des milliers d’œuvres ailleurs se transforment en poussière, suivront des musées, des palais, des bouts de villes et d’autres phénomènes inquiétants sur fonds d’une quête d’œuvres spoliées par les Nazis et de questionnements sur les rapports à l’art et à la vie.
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Quand la Joconde devient poussière
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°787 du 1 juillet 2025, avec le titre suivant : Quand la Joconde devient poussière





