Dès les premières pages, c’est une évidence : ces deux-là étaient faits pour se rencontrer. La prose de Sylvain Tesson trouve en effet dans les dessins ciselés de François Schuiten une incarnation d’une grande puissance visuelle et poétique.
L’idée de génie de l’artiste est le recours à la technique de la carte à gratter qui confère aux illustrations un caractère onirique et hypnotique. Il est en effet bien difficile de lâcher le livre avant de l’avoir terminé. D’autant que le rapport texte-image apporte un vrai supplément d’âme à un livre déjà culte.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Par le noir de la carte à gratter
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°791 du 1 décembre 2025, avec le titre suivant : Par le noir de la carte à gratter





