Théâtre - Chef de troupe hors pair, pratiquant un théâtre épique et populaire, Simon Falguières renoue avec le théâtre de tréteaux, la commedia dell’arte et la farce pour retracer « la vie glorieuse et pathétique de Molière ».

Et dans ce geste joyeux qui va au-devant des publics dans une itinérance généreuse, sur ce petit radeau de toiles et de bois, il brosse à grands traits la carrière en dents de scie d’un homme de théâtre à la production vertigineuse. De L’Étourdi, sa première comédie, au Malade imaginaire qui le voit mourir sur scène, c’est toute une époque qui renaît avec une fantaisie communicative. Les six interprètes cumulent les rôles avec entrain et un sens du jeu masqué imparable. La musique jouée en live contribue au plaisir, les facéties de Mascarille, inénarrable valet fourbe et les clins d’œil à aujourd’hui, font de ce spectacle plein de panache et drôle à souhait une source de joie partagée.
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Les joies du saltimbanque
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°788 du 1 septembre 2025, avec le titre suivant : Les joies du saltimbanque





