Ce livre au titre provocateur est un plaisir. Plaisir de lire, d’ailleurs souvent reproché aux femmes à une autre époque. La thématique est originale et non moins intéressante. Existe-t-il une manière de lire qui n’appartiendrait qu’aux femmes ?
La peinture est un beau témoignage de la perception de ces femmes qui, à travers les livres, ont trouvé un exutoire aux duretés d’une société masculine. Souvent représentée nue, la femme
lisant renvoie au peintre une image érotique. Dangereuses ? Tentatrices ? Victimes de leur passion ? La réponse est à chercher au fil des pages au travers des œuvres de Simone Martini, Michel-Ange, Rembrandt, Boucher, Vuillard…
Laure Adler et Stefan Bollmann, Les Femmes qui lisent sont dangereuses, Flammarion, 2006, 149 p., 29 €.
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Les femmes, les livres... et plus si affinités
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°580 du 1 mai 2006, avec le titre suivant : Les femmes, les livres... et plus si affinités