L’Office central de la lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC), un service de la police judiciaire, est le point de départ de ce livre-enquête, dense, malgré ses illustrations.
Il faut dire que les missions de ce service créé il y a cinquante ans sont particulièrement complexes, avec des investigations de dimension nationale et internationale, pour lutter contre l’un des principaux trafics mondiaux, avec les armes et la drogue : pillages, blanchiment, recel, escroqueries. Une surveillance captivante du marché de l’art.
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L’art sous surveillance
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°787 du 1 juillet 2025, avec le titre suivant : L’art sous surveillance





