Tandis que le Musée de la musique de la Philharmonie de Paris consacre son exposition de rentrée au peintre russe, s’attachant à la dimension musicale de son œuvre picturale (« Kandinsky, la musique des couleurs », du 15 octobre au 1er février 2026), on écoute avec délectation cette émission des « Regardeurs » qui se concentre sur l’un de ses chefs-d’œuvre datant de 1913, conservé au Musée de l’Ermitage de Saint-Pétersbourg, la Composition VI, en compagnie de Philippe Sers.
Philosophe, essayiste et historien d’art, l’homme est un fin connaisseur de l’artiste. Interrogé par Jean de Loisy dans le cadre des épisodes de « L’art est la matière », il nous plonge au cœur de ce tableau aux confins de l’abstraction et nous en révèle les intentions et les secrets, la portée prophétique et synesthésique. Et l’on navigue à ses côtés dans cette toile aussi sensitive que spirituelle sur le thème du déluge qui orchestre le chaos avec un élan vital en tension vers l’absolu.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Kandinsky, du spirituel dans l’art
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°789 du 1 octobre 2025, avec le titre suivant : Kandinsky, du spirituel dans l’art
