À partir d’une collection, on peut tirer différents récits sur son auteur. Les cent portraits extraits de la collection d’Antoine de Galbert forment la trame de son regard.
Les affinités électives éditées sous forme de leporello se plaisent à croiser sans hiérarchie photographies, dessins, peintures ou sculptures de toutes périodes ou techniques signés d’artistes référencés, méconnus ou anonymes d’origines diverses. S’esquissent ainsi en creux la grande liberté de ce collectionneur dans ses choix et son intérêt pour les diverses représentations de la figure humaine.
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Cent portraits de la collection Galbert
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°715 du 1 septembre 2018, avec le titre suivant : Cent portraits de la collection Galbert