La Galerie Dina Vierny consacre son espace à cinq peintres naïfs et à leur utilisation de la couleur : André Bauchant, Camille Bombois, Séraphine Louis, Louis Vivin et celui qui fut considéré comme leur père, Henri Rousseau.
Placée sous le commissariat de l’historienne de l’art spécialiste de l’art naïf Marion Alluchon, l’exposition déploie un nouveau regard sur l’aspect pictural de l’œuvre de ces artistes, nommés par Wilhelm Uhde les « primitifs modernes ». Elle met l’accent sur l’importance de la couleur dans leur peinture, avec l’emploi d’une palette de couleurs vives et l’usage assez fréquent des couleurs primaires. Une vingtaine d’œuvres sont exposées, dont certaines n’ont encore jamais été montrées au public. Un catalogue est édité pour l’occasion.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Primitifs modernes - En galerie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°760 du 1 décembre 2022, avec le titre suivant : Primitifs modernes - En galerie
