Laisser sur le cuivre, la toile ou dans la terre, la trace d’une émotion, d’un passage : c’est le désir qui anime les trois artistes réunis dans l’exposition « Empreintes ».
Alternant des espaces intimistes – un cube évoquant les grottes de la Préhistoire, orné des peintures animales d’Alexandre Fandard, qui n’utilise jamais le pinceau, mais caresse, frappe ou lacère – et d’autres irradiants de lumière, où les cuivres de Mariana Hahn (née en 1985, en Allemagne) mordus par le sel semblent des rituels sacrés et où les peintures de Giovanni Leonardo Bassan (né en 1989, en Italie) laissent transparaître des mondes underground, ces œuvres ont en commun d’être des ponts entre un passé qui nous échappe et un présent où il reste gravé.
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Les traces de l’invisible - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°788 du 1 septembre 2025, avec le titre suivant : Les traces de l’invisible - En galerie





