« Je me mis à transposer mon ‘mysticisme’ juvénile dans le monde mystique des œuvres asiatiques. Je sentais que mon univers était là », explique Julius Bissier en 1919, après que le sinologue Ernest Grosse lui eut révélé l’art et la spiritualité d’Extrême-Orient.
À travers quelque 180 œuvres – dessins, encres, aquarelles, monotypes, tempera sur fibrociment, et papiers ou peintures –, le Musée d’art moderne de Saint-Étienne (jusqu’au 7 janvier, tél. 04 77 79 52 52) rend hommage à l’œuvre de l’artiste allemand, des premières créations aux fameuses encres de Chine (ci-contre, Die Zwillinge, Les Gémeaux, 1938).
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Un mystique à Saint-Étienne
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°136 du 9 novembre 2001, avec le titre suivant : Un mystique à Saint-Étienne