Encore une découverte de Frédéric Paul qui, depuis plusieurs années, aime faire connaître des artistes en marge, des singuliers, des illuminés.
L’Autrichien Elmar Trenkwalder ne déroge pas à la règle et pourrait être placé dans la filiation du Douanier Rousseau et du Facteur Cheval. Ici, il s’agit d’une architecture très sexualisée que l’on retrouve sur différents supports : dessin, peinture mais aussi sculpture en bronze et en céramique. Normal, on est à Limoges, capitale de la porcelaine. Le FRAC et le CRAFT (Centre de recherches sur les arts du feu et de la terre) lui ont d’ailleurs passé commande de sculptures en céramique.
LIMOGES, FRAC Limousin, jusqu’au 17 octobre.
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Trenkwalder l’illuminé
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : Trenkwalder l’illuminé