Lucian Freud, le retour

L'ŒIL

Le 1 juillet 1998 - 135 mots

Depuis la rétrospective de la Whitechapel Gallery en 1993, Londres n’avait pas eu l’occasion de revoir les toiles de ce monstre sacré de la peinture qu’est Lucian Freud. Agé aujourd’hui de 76 ans, celui que Herbert Read avait surnommé « l’Ingres de l’Existentialisme » ne se montre guère. A noter le portrait de son modèle favori Leigh Bowery, réalisé en 1994 – juste avant la mort de celui-ci –, et une grande toile de 1997, Garden Notting Hill Gate. Caractéristiques aussi de son œuvre, des gros-plans de nus tel que Sunny Morning – Eight Legs (1997). L’exposition de la Tate Gallery présente une vingtaine de peintures réalisées entre 1994 et 1998. La plupart proviennent de collections privées et n’ont jamais encore été exposées. Une occasion unique de les découvrir...

LONDRES, Tate Gallery, jusqu’au 26 juillet.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : Lucian Freud, le retour

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