Les mains de monsieur Buhl

Par Philippe Piguet · L'ŒIL

Le 1 février 2006 - 139 mots

Les mains de Georgia O’Keeffe photographiées par Alfred Stieglitz : il n’en aura pas fallu plus à Henry M. Buhl pour « tomber dedans ». En 1993, le courtier new-yorkais craque. Il achète la photo du maître américain. Il ne sait pas alors que c’est là le prélude à une folle aventure qui va faire de lui l’un des plus importants collectionneurs de photographies anciennes, modernes et contemporaines.
Intitulée « Parler avec les mains », l’exposition  que lui consacre le musée de Bilbao réunit tout ce que la collection Buhl compte d’images mettant en valeur cette partie du corps si expressivre. De Nadar à Nan Goldin, c’est toute une histoire de ce médium qu’elle raconte.

« Parler avec les mains. Photographies de la collection Buhl », Museo Guggenheim Bilbao, Abandoibarra 2, Bilbao (Espagne), tél. 00 34 94 435 90 80, jusqu’au 1er mars.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°577 du 1 février 2006, avec le titre suivant : Les mains de monsieur Buhl

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