Sous la main de Matisse, le végétal et le féminin ne font plus qu’un. La métamorphose s’opère de manière presque magique voire contre la volonté du maître. Les symptômes de cette inspiration hybride sont particulièrement évidents dans les Florilèges des œuvres de Ronsard que Matisse illustra, dans l’étude pour la Vierge de la Chapelle de Vence, et dans la sculpture La Tiaré, où une tête de femme se confond avec une fleur de Tahiti.
NICE, Musée Matisse, jusqu’au 31 août.
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Les femmes en fleur de Matisse
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : Les femmes en fleur de Matisse