« Si vous voulez avoir des idées propres, changez-en comme de chemises », Picabia appliqua le principe à sa peinture, tour à tour post-impressionniste ou abstraite. La collection de Marianne et Pierre Nahon constitue le noyau dur de cette rétrospective qui affiche une prédilection particulière pour les années trente et quarante et ses nus jugés kitsch par certains. Entre l’exposition de Rotterdam, qui cet hiver faisait une magistrale démonstration, et celle que le musée de Grenoble prépare pour l’automne, cet accrochage en galerie privée tombe à pic.
VENCE, Galerie Nahon, jusqu’au 10 octobre.
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Au kitsch Picabia
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : Au kitsch Picabia