Parmi les oubliés de la sculpture moderne, Morice Lipsi (1898-1986) fait figure d’artiste malchanceux. Il a pourtant bénéficié d’une commande à l’entrée de l’autoroute Grenoble-Lyon, d’une exposition au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris peu avant sa mort, d’un hommage à Grenoble lors du trentième anniversaire du premier Symposium de sculpture que Lipsi avait présidé en 1967. Que ce rassemblement d’une vingtaine de ses sculptures abstraites et architecturées puisse sonner l’heure de la reconnaissance. Lipski aurait eu cent ans cette année.
LA TRONCHE, Musée Hébert, jusqu’au 5 septembre
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Architecture de sculptures
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°498 du 1 juillet 1998, avec le titre suivant : Architecture de sculptures