divers lieux

Ajaccio, journées magnétiques

L'ŒIL

Le 1 mai 2001 - 165 mots

Pour la septième année consécutive, Alexandre Perigot nous convie au festival Studio Vidéo Danse d’Ajaccio, rebaptisé Magnetica. Danseurs, chorégraphes, musiciens et vidéastes travaillent cette fois-ci
en collaboration avec les séances d’Ecoute du Métafort d’Aubervilliers. La compagnie italienne Kinkaleri revient avec deux nouvelles chorégraphies, Esso et Super. Cette dernière fait un clin d’œil à Matthew Barney lorsqu’à l’aide d’un harnais il escaladait les murs d’une galerie d’art. Egalement invité le New-Yorkais Black Sifichi, musicien, poète, photographe, vidéaste, DJ, dont les textes sont souvent lus au Centre Pompidou tandis qu’il fait vibrer les ondes sur Radio Nova. Sa musique est un mélange de poésies, musiques Dub et compositions expérimentales. Magnetica, qui se tourne résolument vers l’art contemporain, est également l’occasion de découvrir les œuvres de Michel Ettori, Claudia Triozzi, Norscq, Julien Ottavi, des prises de parole de notre collaborateur Jacinto Lageira et Laurent Goumarre (France Culture).

- AJACCIO, divers lieux, 17, 18, 19 mai, tél. 01 43 11 22 33 et 04 95 50 40 87, www.metafort.org/ecoute

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°526 du 1 mai 2001, avec le titre suivant : Ajaccio, journées magnétiques

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