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Les polémiques sur la légitimité et la valeur de l’art contemporain font désormais partie du paysage quotidien : provocations et réponses se suivent et se ressemblent depuis maintenant plus de cinq ans, quand la revue Esprit en avait donné le coup d’envoi. Il semble en réalité que l’art d’aujourd’hui soit un exutoire à des passions qui le dépassent et le transforment en otage d’une crise culturelle qui tarde à dire son nom. Les \"Dix jours de l’art contemporain\", à l’initiative du ministère de la Culture, offriront peut-être une consolation en trompe-l’œil aux esprits chagrins, un motif supplémentaire de rage à ses détracteurs invétérés. Si la crise est aussi profonde qu’on le dit, elle réclame un recul et une distance auxquels bien peu veulent consentir. À travers un extrait de son essai publié dans le catalogue de l’exposition \"L’Empreinte\", actuellement au Centre Pompidou, Georges Didi-Huberman pose la question de l’origine, qui est selon lui le centre occulté de ces querelles. Jean Clair, quant à lui, renvoie ses détracteurs à leurs propres archaïsmes.
Par Jean Clair · Le Journal des Arts
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