Quand la différence s’abstrait

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 9 septembre 2005 - 115 mots

MOUANS-SARTOUX - Quelles ont été les influences de l’art arabo-musulman sur l’art abstrait géométrique en Occident ? Tel est le point de départ de la très stimu­lante exposition organisée jusqu’au 8 janvier à l’Espace de l’Art concret, à Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes).

Conçue par Arnault Pierre, historien de l’art abstrait, et Oleg Grabar, historien des arts de l’Islam, l’exposition « Le chant rythmique de l’esprit, arts de l’Islam et abstraction géométrique » confronte des œuvres issues du Musée du Louvre, à Paris, tels des vantaux de portes égyptiens ou un élément de frise architectu­rale iranien datant des XIIIe et XIVe siècles, avec les œuvres des artistes Kupka, Morellet, Gerstner, Frize, Molnar, Honegger, Moustashar et Mouraud.

Espace de l’Art concret, tél. 04 93 75 71 50

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°220 du 9 septembre 2005, avec le titre suivant : Quand la différence s’abstrait

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