Magenta rouge

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 12 mai 2006 - 122 mots

PARIS - Jusqu’au 10 juillet, le boulevard Magenta, à Paris, fête la fin de ses travaux de rénovation en invitant de nombreux artistes.

Tandis que les affiches de Malte Martin délivrent jour après jour d’intrigants messages aux passants, les vitrines des magasins s’animent de nuit avec les vidéos de Blanca Casas Brullet. Tapis rouge pour ce nouvel espace urbain avec l’installation de Marylène Negro, tandis que le slogan d’Ugo Rondinone projeté sur le pont du métro aérien à la station Barbès-Rochechouart « Cry me a river » rappelle étrangement les complaintes d’un certain chanteur pop… Une petite pincée d’art dans le quotidien, ou revoir la ville couleur magenta ?

« Magenta éphémères », boulevard Magenta, de Barbès à République, Paris. Rens. www.paris.fr

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°237 du 12 mai 2006, avec le titre suivant : Magenta rouge

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