mécène

Le salon de Florence de Voldère

L'ŒIL

Le 1 mai 2001 - 159 mots

Dans son appartement parisien du 27, quai Anatole France, Florence de Voldère, antiquaire et spécialiste de la peinture flamande ancienne, souhaiterait recréer un salon digne du XVIIIe siècle, où l’on recevrait régulièrement la société artistique et mondaine. « Car, ne pouvant remercier les artistes flamands de tout ce qu’ils m’ont apporté, je veux aider les artistes d’aujourd’hui », dit-elle. Alors, avec Gianne de Genevraye, une amie peintre américaine, la descendante de la galerie Charpentier arpente les foires et les salons à la recherche des nouveaux talents. Et depuis trois ans, au rythme d’une journée par saison, leur association Laurier, ou « Salon de mécénat », organise des rencontres de peintres, sculpteurs et musiciens, autour de concerts et d’expositions. « Ce qui me réjouit le plus, ajoute Florence de Voldère, c’est de retrouver l’une de nos découvertes, exposée chez des grands comme la Fondation Guerlain ou la Fondation Ricard ».

Laurier, Salon de mécénat, tél. 01 45 51 14 00.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°526 du 1 mai 2001, avec le titre suivant : Le salon de Florence de Voldère

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