Fondée en 1145 à la Roque-d’Anthéron, l’abbaye cistercienne de Silvacane, qui a échappé de peu à la démolition durant la Révolution puis a servi de grange, d’écurie et de porcherie jusqu’en 1950, retrouve sa beauté après dix années de travaux pour un coût de plus de 6,5 millions francs.
L’artiste Sarkis a créé des vitraux pour le réfectoire, sans couleur chatoyante ni scène imagée, mais avec une multitude d’empreintes de doigts dorées sur plaques de verre. Le dortoir accueille, quant à lui jusqu’au 30 septembre, l’exposition « Ikônes » et 25 courts-métrages de Sarkis (renseignements 04 42 50 41 69).
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
L’abbaye de Silvacane fait peau neuve
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°130 du 29 juin 2001, avec le titre suivant : L’abbaye de Silvacane fait peau neuve