Bettina Rheims chassée du Paradis

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 25 novembre 2008 - 116 mots

La Cour de cassation a débouté le 13 novembre la photographe Bettina Rheims et a rendu définitive sa condamnation pour avoir utilisé dans l’un de ses clichés l’œuvre de l’artiste-plasticien allemand Jakob Gautel intitulée Paradis créée en 1990.

PARIS - En juin  2006, la cour d’appel de Paris avait jugé Bettina Rheims coupable de contrefaçon et l’avait condamnée à verser 30  000  euros de dommages et intérêts à l’artiste. Le mot Paradis gravé en lettres d’or au-dessus de la porte des toilettes de l’ancien dortoir des alcooliques de l’hôpital psychiatrique de Ville-Évrard, devenu un lieu de création contemporaine, a été reconnu comme une œuvre à part entière et se trouve donc protégée par le droit d’auteur.

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°292 du 28 novembre 2008, avec le titre suivant : Bettina Rheims chassée du Paradis

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