Une vente suspendue à Eileen Gray

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 15 avril 2009 - 148 mots

Grosse déception le 6 avril chez Camard à Drouot où une vacation de prestige mêlant des pièces d’arts décoratifs du XXe siècle et des pièces de design contemporain n’a pas porté ses fruits, avec 37 % seulement de lots vendus.

PARIS - Le bureau personnel de 1921 de Georges Vantongerloo (est. 280 000 euros) n’a ainsi pas trouvé preneur. La vente a tout de même réalisé 1,7 million d’euros de produit, soit 70 % de l’estimation. Les deux luminaires vedettes d’Eileen Gray, suspensions en bois laqué et œuf d’autruche (vers 1922) estimées 100 000 et 120 000 euros, ont séduit les collectionneurs d’Art déco pour 297 400 et 247 800 euros. Estimé 35 000 euros, un rare pot couvert Fabrizia de Giò Ponti, à panse tulipe sur piédouche, issu de la série « Le Mie Donne » réalisée entre 1924 et 1925, est parti à 89 200 euros.

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°301 du 17 avril 2009, avec le titre suivant : Une vente suspendue à Eileen Gray

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