Voici 79 ans que le salon Réalités Nouvelles, dont la première édition s’est tenue en 1946 au Palais des beaux-arts – actuel Musée d’art moderne de Paris –, réunit une effervescente scène artistique explorant le champ des abstractions.
Cette édition bénéficie d’un nouvel écrin : l’espace Césure, dynamique tiers-lieu installé sur l’ancien campus Censier de l’université Sorbonne-Nouvelle (5e arr.). Cette année, ce sont 120 artistes qui présentent chacun une œuvre d’art abstrait – du dessin à la sculpture en passant par la gravure, la peinture ou la photographie – aux côtés d’une section « Arts et science ».
Dans ce salon géré par les artistes eux-mêmes réunis en association, se déploie un paysage pluriel : on y tente de percer les secrets des empreintes d’un passé enfoui qui nous façonne silencieusement face aux œuvres intimes et délicates, de petit format, de l’Allemande Stefanie Heyer (née en 1975), comme on s’émerveille de l’installation multimédia composite du collectif Metamorphosis Volvox, jouant avec les propriétés optiques remarquables de nanoparticules d’or dans la section « Arts et science ».
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Réalités nouvelles : l’abstraction découvre l’espace Césure
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°790 du 1 novembre 2025, avec le titre suivant : Réalités nouvelles : L’abstraction découvre l’espace Césure
