L’effet « YSL-PBA »

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 15 avril 2009 - 88 mots

À qui profite l’effet de la vente Saint Laurent-Bergé ?

PARIS - D’abord à Pierre Bergé & associés (PBA). Au lendemain de la dispersion de la collection organisée conjointement avec Christie’s au Grand Palais, la maison de ventes de l’homme d’affaires et collectionneur a consigné quatre rares meubles inédits d’Eileen Gray (est. 5,5 à 8 millions d’euros), mais aussi le Petit Théâtre (1911), tableau signé James Ensor (est. 500 000-700 000 euros) et un fauteuil à bascule (1974), pièce unique de François-Xavier Lalanne (est. 600 000-900 000 euros).

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°301 du 17 avril 2009, avec le titre suivant : L’effet « YSL-PBA »

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