Le tapis s’envole

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 7 janvier 2000 - 101 mots

Le 20 décembre, au cours d’une vente organisée par les études Pescheteau-Badin, Godeau, Leroy et De Ricqlès, l’enchère la plus élevée, 1,8 million de francs, est allée à un tapis de Bessarabie, tandis qu’un Portrait d’homme par Jean-Baptiste Greuze partait à 1,1 million.

À Drouot-Richelieu également, dans une vente de mobilier et d’objets d’art ayant totalisé un produit de 16 millions, l’étude Piasa a adjugé 2,8 millions une paire de paravents à trois feuilles en moquette de la Savonnerie, d’époque Régence. Par ailleurs, une verseuse de forme double gourde, fabriquée en Corée au XIIe siècle, s’est vendue un million de francs.

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°96 du 7 janvier 2000, avec le titre suivant : Le tapis s’envole

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