Le 20 décembre, au cours d’une vente organisée par les études Pescheteau-Badin, Godeau, Leroy et De Ricqlès, l’enchère la plus élevée, 1,8 million de francs, est allée à un tapis de Bessarabie, tandis qu’un Portrait d’homme par Jean-Baptiste Greuze partait à 1,1 million.
À Drouot-Richelieu également, dans une vente de mobilier et d’objets d’art ayant totalisé un produit de 16 millions, l’étude Piasa a adjugé 2,8 millions une paire de paravents à trois feuilles en moquette de la Savonnerie, d’époque Régence. Par ailleurs, une verseuse de forme double gourde, fabriquée en Corée au XIIe siècle, s’est vendue un million de francs.
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Le tapis s’envole
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°96 du 7 janvier 2000, avec le titre suivant : Le tapis s’envole