Le monde doux-amer d’Elika Hedayat

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 16 février 2011 - 107 mots

PARIS - Pour sa deuxième exposition à la galerie Aline Vidal, à Paris, le travail de la jeune Iranienne Elika Hedayat a pris de l’ampleur et de la noirceur comme en témoignent les traces de la performance réalisée lors du vernissage avec la danseuse israélienne Tamara Erde.

Son répertoire de personnages hybrides et hurlants, son mélange d’innocence enfantine et de violence perverse, sa forte conscience historique et sexuelle, font de cette artiste, formée à l’atelier d’Annette Messager (à l’École nationale supérieure des beaux-arts), une des voix iraniennes les plus intrigantes.

Galerie Aline Vidal,

70, rue Bonaparte, 75006 Paris, tél. 01 43 26 08 68, www.alinevidal.com. Jusqu’au 12 mars

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°341 du 18 février 2011, avec le titre suivant : Le monde doux-amer d’Elika Hedayat

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