Le cachet Petiet

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 23 juin 2006 - 134 mots

PARIS - Le 8 juin, à Drouot, Piasa proposait une nouvelle vente d’estampes modernes ayant appartenu à Henri M. Petiet.

Rares furent les invendus parmi ces quelque 200 feuilles collectionnées par l’éditeur bibliophile et spécialiste en estampes décédé en 1980.

Au catalogue, les maisons d’édition étaient nombreuses et plus prestigieuses les unes que les autres : Mercure de France, Ambroise Vollard, Goupil & Cie, Bernheim Jeune, Kahnweiler…

Parmi les résultats marquants, citons Le Chapeau épinglé (v. 1897) d’Auguste Renoir (26 500 euros, est. 12 000 euros) – alors qu’une Danse à la campagne du même artiste (est. 12 000 euros) restait sur la touche –, Le Porteur de Féï (1898-1899) de Paul Gauguin (25 000 euros, est. 10 000 euros), et Hebräische Ballade (1914) de Conrad Felixmüller (22 000 euros, est. 5 000 euros).

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°240 du 23 juin 2006, avec le titre suivant : Le cachet Petiet

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