Le bestiaire fantastique

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 6 février 2004 - 110 mots

La galerie Minsky présente une version contemporaine du bestiaire fantastique, thème qui a pris toute sa dimension au Moyen Âge, puisant très certainement ses origines de l’ouvrage grec du IIe siècle avant J.-C.

Physiologus, où l’auteur (anonyme) associe à chaque animal, réel ou légendaire, une signification. L’exposition réunit des peintures et sculptures illustrant des monstres de l’Orient et de l’Antiquité gréco-romaine de Leonor Fini, l’artiste phare de la galerie. Sont aussi présentées les œuvres de l’Anglais Allington – qui a travaillé sur les sphinges –, Corneille, pour ses oiseaux, Lucien Coutaud, avec des chevaux décomposés, Michel Henricot, Wilfredo Lam, François Martin, de l’Italien Stanislao Lepri et de l’Ukrainien Anton Solomoukha.

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°186 du 6 février 2004, avec le titre suivant : Le bestiaire fantastique

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