PARIS
Artiste de l’art urbain, connu pour ses iconiques guerriers bantous, Kouka joue avec les notions de mixité culturelle et d’appartenance.
L’exposition « Vénus » rend hommage aux muses, celles qui ont provoqué l’inspiration suffisante pour bouleverser les codes, comme Marie-Guillemine Benoist qui a su, en 1800, remuer les frontières sociales et picturales de l’époque. Au travers d’une douzaine de toiles, ses portraits de femmes proposent une relecture de l’histoire, notamment celle de l’esclavagisme (de 2 500 à 12 000 euros).
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Kouka - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°718 du 1 décembre 2018, avec le titre suivant : Kouka - En galerie