L’artiste présente plusieurs séries remarquables qui travaillent la matérialité des tirages. Dans Creuser l’image, surimpressions, encre de Chine et stries dévoilent les états successifs de monuments détruits (Palmyre, Bâmiyân).
Avec des tirages issus de négatifs en soie froissée (Le Temps voilé) ou des photogrammes (Submergées), l’artiste s’interroge avec sensibilité sur la destruction du patrimoine, le temps long et l’effacement des images.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Guénaëlle de Carbonnières - En galerie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Abonnez-vous maintenant en ligne et choisissez la formule qui vous convient.
S'abonner à partir de 8,50 € / moisCet article a été publié dans L'ŒIL n°762 du 1 mars 2023, avec le titre suivant : Guénaëlle de Carbonnières - En galerie