Biennale : toute souveraineté gardée

Par Le Journal des Arts · Le Journal des Arts

Le 2 décembre 2005 - 118 mots

PARIS - Confirmant un jugement rendu par le tribunal de grande instance de Paris le 9 juin 2004, dans un arrêt du 8 novembre 2005 la cour d’appel de Paris a débouté l’antiquaire parisien Gérard Orts de sa plainte contre le Syndicat national des antiquaires (SNA).

Le marchand avait assigné le SNA pour faute lui ayant causé un préjudice certain, par le fait qu’il n’avait pas pu, contrairement aux années antérieures, obtenir de stand à la Biennale des antiquaires 2002. La cour a estimé qu’aucune faute du SNA ou irrégularité dans l’organisation de la biennale 2002 n’avait été commise. « Le tribunal nous laisse libre cours quant au choix de nos exposants en biennale”, s’est satisfait Christian Deydier, président du syndicat.

Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°226 du 2 décembre 2005, avec le titre suivant : Biennale : toute souveraineté gardée

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