Dossier
À quelques mois du rattachement de Hong Kong à la République populaire de Chine, la future ex-colonie britannique n’est pas assurée de conserver sa position dominante sur le marché de l’art chinois. Certains collectionneurs et marchands redoutent le départ des Britanniques, alors que d’autres misent sur l’avenir. Ces derniers, de jeunes galeristes pour la plupart, espèrent profiter du développement rapide du marché de l’art en Chine. Déjà, les maisons de vente privées chinoises sont particulièrement actives en matière d’antiquités, et la conquête de parts de marché s’annonce difficile pour Christie’s et Sotheby’s.
Parallèlement, la nouvelle génération d’artistes chinois – qu’ils travaillent à Hong Kong, en Chine ou ailleurs – intéresse de plus en plus les institutions occidentales et les acteurs du marché de l’art. Alors qu’une vaste exposition est consacrée aux peintres chinois contemporains au Kunstmuseum de Bonn, jusqu’au 2 juin, une grande vente d’art chinois contemporain est programmée pour le mois de septembre, chez Sotheby’s à New York.
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