Dossier
La multiplication des expositions de design ne s’explique pas uniquement pour des raisons économiques. Certes, montrer des objets de design, en principe fabriqués en série, est moins coûteux que montrer des maîtres anciens ou modernes. Il faut aussi y voir un intérêt grandissant du public. À telle enseigne, d’ailleurs, que de plus en plus de musées, et pas simplement des musées d’arts décoratifs, constituent des collections de design, y compris ce vaste conservatoire du patrimoine qu’est le Cnap/Fnac (Centre national des arts plastiques/Fonds national d’art contemporain). Avec le risque de brouiller les cartes. En principe, ici aussi, un objet de design a d’abord une fonction utilitaire. Mais, en l’espèce, c’est évidemment la forme, repensée pour s’adapter aux nouveaux usages et à l’esthétique d’aujourd’hui, et surtout de demain, qui prime. Subsidiairement, exposer ou collectionner des objets manufacturés contemporains, c’est dynamiser toute une filière industrielle et marchande. L’économie, on y revient toujours.
Entretien
Par Christian Simenc · Le Journal des Arts
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