Fondation Barnes

Merion ou Philadelphie ?

L'ŒIL

Le 19 juin 2008 - 174 mots

Partisans du déménagement :
Le déplacement de la collection est une question de survie.
D’autres solutions moins radicales auraient peut-être suffi. Mais le déménagement permettra à la fondation, qui bénéficiera d’une localisation centrale, d’attirer davantage de visiteurs. L’agrandissement des espaces permettra d’organiser, à côté de la collection permanente, des expositions temporaires autour d’une œuvre phare de la collection, qui réunira dessins préparatoires et variantes du tableau.

Opposants au déménagement :
La création d’une annexe de la fondation fut un temps envisagée.
Les Amis de la Fondation ont proposé d’augmenter le prix d’entrée et de réduire le nombre de jours de fermeture. Ils ont aussi suggéré de laisser la fondation Barnes à Merion et de créer une annexe sur le Parkway : il s’agissait de construire à Philadelphie un centre d’accueil pour les visiteurs, d’où partirait une navette pour Merion. Cette « annexe centrale » aurait compris un café, un restaurant, une boutique de souvenirs et on aurait pu y exposer des documents et œuvres non exposées de la collection, en guise d’introduction à la visite.

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°604 du 1 juillet 2008, avec le titre suivant : Merion ou Philadelphie ?

Le Journal des Arts.fr

Inscription newsletter

Recevez quotidiennement l'essentiel de l'actualité de l'art et de son marché.

En kiosque