Foire & Salon

Questions à… Victoria Mann, directrice d’Akaa

Par Alexia Lanta Maestrati · L'ŒIL

Le 30 octobre 2018 - 189 mots

PARIS

Quelles sont les nouveautés d’Akaa en 2018 ?

Les conditions de participation à la foire ne sont pas liées à la géographie même, mais au lien revendiqué à ce continent par les artistes qui participent. Nous avons accentué cette idée, particulièrement entre les régions du Sud, car ce sont des marchés encore jeunes, que nous n’avons pas l’habitude de confronter à l’Afrique. Notamment avec des liens évidents à comprendre, comme ceux avec l’Amérique du Sud, mais pas que : nous avons par exemple un artiste coréen qui a fait une résidence en Afrique du Sud (Eclectica Contemporary).
 

Quelle est la gamme de prix à Akaa ?

En France, la scène artistique africaine est encore dans une phase de découverte. Nous faisons un important travail au niveau des collectionneurs, car il s’agit d’un marché émergent. La première année, la majorité des ventes tournaient autour de 5 000 euros ; l’année dernière, elles étaient entre 8 000 et 10 000 euros ; cette année, elles augmentent encore avec des prix autour de 30 000 à 40 000 euros, tout en conservant des premiers prix aux alentours de 2 000 euros.

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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°717 du 1 novembre 2018, avec le titre suivant : Questions à… Victoria Mann, directrice d’Akaa

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