PARIS - L’université de l’État de New York à Albany annonce le lancement d’un standard technologique d’identification et d’authentification hautement sécurisé baptisé « i2M », appelé à résoudre les problèmes de contrefaçon et de falsification des œuvres d’art. Cette initiative est l’aboutissement d’une collaboration internationale portant sur l’insertion d’éléments d’ADN sous la surface de l’œuvre et entraînant l’application d’une étiquette sur l’objet.
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ADN et fraude en art
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S'abonner à partir de 8,50 € / moisCet article a été publié dans Le Journal des Arts n°445 du 13 novembre 2015, avec le titre suivant : ADN et fraude en art