PARIS
Pour la première fois, les toiles d’Olivier de Sagazan sont dépourvues de figures humaines, laissant place à une nature un peu mélancolique.
À côté, ses sculptures et ses installations forment un bestiaire où l’humain, l’animal et la Terre s’entremêlent. Ce corpus d’une vingtaine d’œuvres (de 700 à 15 000 euros) place le vivant en son centre, rappelant la nécessité d’une conscience écologique. Alexia Lanta Maestrati - En galerie
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Olivier de Sagazan - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°719 du 1 janvier 2019, avec le titre suivant : Olivier de Sagazan - En galerie