Imprégné par la ville de Bombay où il vit et travaille, Manish Nai joue avec les matières, les formes et les couleurs de son pays.
La fibre de jute, les journaux, les vêtements et cartons usagés sont ses matériaux de prédilection. Entre Arte Povera et art minimal, il compresse ces objets de récupération pour les transformer en sculptures ou en tableaux. Tout aussi méconnaissables, ces panneaux publicitaires délabrés retravaillés en une œuvre abstraite, comme autant d’objets de son quotidien redécouverts.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Manish Nai - Fondation Fernet-Branca
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°703 du 1 juillet 2017, avec le titre suivant : Manish Nai - Fondation Fernet-Branca