décorateur

Le Gall, de Primitifs en marguerites

L'ŒIL

Le 1 octobre 2000 - 175 mots

À partir du 25 octobre, le Musée Jacquemart-André expose ses Primitifs italiens. Sortis des réserves et restaurés, ils ont été choisis par Nicolas Sainte Fare Garnot et mis en scène par Hubert Le Gall (© V. Knapp) qui s’était déjà illustré par les décors des expositions Préault et Duban au château de Blois. Celui-ci précise d’emblée : « Je suis  d’abord un sculpteur. Mon travail se situe entre l’objet et la sculpture. » Et ses tables basses de bronze au plateau en « champs de marguerites » ou autres créations se vendent à la galerie de l’Avant-Scène, 4, place de l’Odéon à Paris. Pièces uniques ou tirages limités, elles font la joie de l’un de ses collectionneurs, le décorateur Jacques Garcia. Pour le peintre que fut Hubert Le Gall, l’inspiration, la spontanéité et le hasard interviennent toujours sur le jeu de la forme. « Mais avant tout mon travail naît d’une démarche sculpturale où le jeu et l’humour s’opposent à un travail traditionnel car pour obtenir un bronze, il faut d’abord élaborer un plâtre. »

Cet article a été publié dans L'ŒIL n°520 du 1 octobre 2000, avec le titre suivant : Le Gall, de Primitifs en marguerites

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