VIENNE - Wilfried Seipel, directeur du Kunsthistorisches Museum de Vienne, où avait été volée il y a un an la célèbre salière de François Ier signée Benvenuto Cellini, a été sollicité en Italie par un escroc laissant espérer la restitution de la pièce d’orfèvrerie.
D’après le quotidien autrichien Kurier (du 19 mai), un Viennois condamné dans le passé pour escroquerie aurait attiré Wilfried Seipel et son équipe dans un endroit isolé de Vienne, puis dans le nord de l’Italie, en prétendant être à l’article de la mort et vouloir rendre sans récompense la pièce évaluée à plus de 50 millions d’euros. Le scénario ne s’est finalement pas réalisé. Les partis d’opposition, sociaux-démocrates (SPÖ) et Verts, ont récemment réclamé la démission du directeur du musée en l’accusant d’avoir négligé la sécurité.
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Sur la piste de la salière
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°194 du 28 mai 2004, avec le titre suivant : Sur la piste de la salière