« Les édifices modernes se taisent mais les ruines parlent », disait Benjamin Constant. Les bâtiments entiers se dressent en effet droits, face à nous, impressionnants, tandis que les ruines, dans leur état de délabrement, laissent libre cours à l’imagination par leur pouvoir évocateur. Temples antiques, églises, palais du désert et autres vestiges nous incitent à reconstituer mentalement leur histoire et prendre la mesure de la supériorité du temps… Photographe et architecte de formation, Ferrante Ferranti nous conduit de civilisations en civilisations dans une promenade poétique à travers les ruines.
Ferrante Ferranti, L’Esprit des ruines, éditions du Chêne, 2005, 256 p., 52,90 €.
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Promenade poétique à travers les ruines
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°576 du 1 janvier 2006, avec le titre suivant : Promenade poétique à travers les ruines