Beau livre. Le comte d’Angiviller, directeur des Bâtiments sous Louis XVI, a « irrigué l’ensemble des politiques menées aujourd’hui par le ministère de la Culture », écrit Jean-François Hébert, directeur général des Patrimoines et de l’Architecture, dans la préface du Comte d’Angiviller rédigé par Monelle Hayot et Antoine Maës.
L’ouvrage retrace ses fonctions de directeur des Beaux-Arts ainsi que son rôle de fondateur du Musée du Louvre, dont le « manque d’entretien criant » demeure un enjeu actuel : le comte lançait déjà à l’époque un vaste projet de travaux et d’acquisition. Relatant l’histoire intime de « celui dont l’amour pour les arts était sincère » et qui ouvre « la voie à une reconnaissance méritée », le livre comprend les Mémoires de son secrétaire Narcisse, retranscrites. Ce dernier témoigne des dernières années d’exil de l’artistocrate, menacé de la guillotine lors de la Révolution.
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Le Comte d’Angiviller, une postérité très actuelle
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°655 du 9 mai 2025, avec le titre suivant : Le Comte d’Angiviller, une postérité très actuelle